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30 septembre 2023 6 30 /09 /septembre /2023 09:40

Le grand rêve des hommes va-t-il se réaliser ? Je parle de l’immortalité…

Cela y ressemblerait. En effet, le dernier article paru dans la revue Science, réputée pour son sérieux, fait état de l’avancement de recherches en génétique. Il s’agit d’une étude du Centre de Recherche en Génétique de l’Université de Stanford USA. Celle-ci a séquencé les génomes de tous ( ?) les êtres vivants considérés comme « immortels ». On y retrouve le turritopsis Nutricula ou dohrnii une méduse qui renouvelle ses cellules, le tardigrade un minuscule ourson d’eau, la planaire un vers d’eau plat, le monorhaphis une espèce d’éponge, et d’autres…

A noter que toutes ces créatures n’assurent pas leur survie de la même manière, ce qui complique la catégorisation, et donc l’origine de leurs capacités. Mais elles ont toutes un rapport à l’eau… !?

Et, mettant l’IA (l’Intelligence Artificielle) à contribution, l’équipe a pu localiser, différencier, identifier, les chromosomes spécifiques, différents d’autres organismes proches… mais mortels.

Certes, on en est qu’au début mais il est prometteur. Évidemment, des essais de transplantations desdits  chromosomes sur des êtres mortels vont être menés… peut-être jusqu’à l’Homme… !?

L’immortalité n’est pas pour demain. Par contre, ce serait alors le moyen d’explorer d’autres planètes, inaccessibles de nos jours.

RENE JUSVEL

MEDICINE - A gene for immortality?
Will the great dream of men come true? I'm talking about immortality...
It would look like it. Indeed, the latest article published in the journal Science, renowned for its seriousness, reports on the progress of research in genetics. This is a study from the Genetics Research Center at Stanford University USA. This sequenced the genomes of all (?) living beings considered “immortal”. There we find the Nutricula turritopsis or dohrnii a jellyfish which renews its cells, the tardigrade a tiny water bear, the planaria a flat water worm, the monorhaphis a species of sponge, and others...
Note that not all of these creatures ensure their survival in the same way, which complicates categorization, and therefore the origin of their abilities. But they all have a connection to water...!?
And, putting AI (Artificial Intelligence) to work, the team was able to locate, differentiate, and identify specific chromosomes, different from other close organisms… but deadly.
Of course, we are only at the beginning but it is promising. Obviously, trials of transplanting said chromosomes onto mortal beings will be carried out... perhaps even to humans...!?
Immortality is not for tomorrow. On the other hand, it would then be the way to explore other planets, inaccessible today.

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15 septembre 2023 5 15 /09 /septembre /2023 18:09

Pourquoi la Terre tourne-t-elle sur elle-même en 24h ? Pourquoi ne présente-t-elle pas toujours la même face vers le soleil ?... alors que la Lune, elle, nous présente toujours la même face !? Et pourquoi toutes les planètes de notre système solaire tournent-elles sur elles-mêmes dans le même sens, sauf… Vénus et Uranus ?

Ces questions, on se les pose depuis longtemps mais les réponses n’étaient, jusqu’à présent, que parcellaires, voire très hypothétiques.

Le Laboratoire de Planétologie et Géosciences de Nantes vient d’apporter une nouvelle contribution. En fait – et ça, on l’avait conjecturé depuis déjà quelques temps – les satellites en rotations synchrones (comme la Lune) – sont « fixées » par effet de marée. C’est ainsi le cas de Mercure et d’autres satellites d’astres. De fait, c’est chaque fois le satellite le plus proche.

Le sens (et vitesse) de rotation des planètes serait lié à la position, l’éloignement, de celles-ci au soleil. Et on retrouve là quelque chose dont nous avions parlé ici : une répartition bien précise des orbites planétaires, des zones d’équilibre gravitationnel. Lorsqu’une planète est à la bonne position (éloignement) alors elle est synchrone. Si elle est trop près, alors, allant rejoindre sa zone d’équilibre, elle s’éloigne… et tourne sur elle-même dans le bon sens. C’est le cas de la majeure partie des planètes. Sinon (cas de Vénus et Uranus), elles se rapprochent du soleil, de leur zone, et tournent alors en sens rétrograde. Pourquoi ? Mystère…

L’excentricité et la masse du satellite interviennent aussi…

RENE JUSVEL

PLANETOLOGY - Why do the planets rotate?
Why does the Earth rotate on its axis every 24 hours? Why doesn't it always present the same face towards the sun?... while the Moon always presents the same face to us!? And why do all the planets in our solar system rotate in the same direction, except... Venus and Uranus?
We have been asking these questions for a long time but the answers have, until now, been only piecemeal, or even very hypothetical.
The Nantes Planetology and Geosciences Laboratory has just made a new contribution. In fact – and this has been conjectured for some time – satellites in synchronous rotation (like the Moon) – are “fixed” by a tidal effect. This is the case with Mercury and other satellites of the stars. In fact, it is each time the closest satellite.
The direction (and speed) of rotation of the planets would be linked to the position, the distance, of them from the sun. And there we find something that we talked about here: a very precise distribution of planetary orbits, zones of gravitational balance. When a planet is in the right position (distance) then it is synchronous. If it is too close, then, going to reach its balance zone, it moves away... and turns on itself in the right direction. This is the case for most planets. Otherwise (case of Venus and Uranus), they approach the sun, their zone, and then turn in a retrograde direction. For what ? Mystery…
The eccentricity and mass of the satellite also come into play…

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9 septembre 2023 6 09 /09 /septembre /2023 09:23

Le réchauffement climatique est devenu la préoccupation numéro 1 en France mais aussi dans le monde. L’alerte avait été donnée par le GIEC, mais, malgré cela, la réaction humaine tarde à s’exprimer, se concrétiser surtout. Bref, on prend du retard, on se fait distancer.

Et, d’après la dernière étude des experts, c’est pire qu’on ne pensait. En fait, ce réchauffement climatique ne serait pas linéaire mais… exponentiel ! Le réchauffement accélèrerait le réchauffement ! Simples exemples, parmi tant d’autres, la fonte du permafrost qui libère du méthane, gaz à effet de serre, les incendies de forêts qui dégagent du CO2 au lieu de l’absorber…

Et, surtout, ce réchauffement s’avère très brutal, plus brutal que l’alternance des périodes « naturelles » glacières et de réchauffement, c’est pourquoi les scientifiques parlent plutôt de dérèglement climatique. Un peu – mais moins brusque quand même – que la chute d’un énorme astéroïde sur Terre. Bref, les évènements météorologiques actuels vont se multiplier et devenir de plus en plus intenses, brutaux.

Et l’espèce humaine risque de ne pas s’en sortir indemne, de la même manière que plein d’autres espèces vivantes. Il serait déjà trop tard…

Et rien à voir avec ce qui se disait dans le temps : « il n’y a plus de saisons, ma bonne dame ! Ça, c’est la faute au Spoutnik ! ».

RENE JUSVEL

CLIMATOLOGY - Worse than we thought
Global warming has become the number 1 concern in France but also in the world. The alert had been given by the IPCC, but, despite this, the human reaction is slow to express itself, especially to materialize. In short, we are falling behind, we are falling behind.
And, according to the latest study by experts, it's worse than we thought. In fact, this global warming would not be linear but… exponential! Warming would accelerate warming! Simple examples, among many others, the melting of permafrost which releases methane, a greenhouse gas, forest fires which release CO2 instead of absorbing it…
And, above all, this warming is proving to be very brutal, more brutal than the alternation of “natural” periods of ice and warming, which is why scientists rather speak of climate change. A bit – but still less abrupt – than the fall of a huge asteroid on Earth. In short, current weather events will multiply and become more and more intense and brutal.
And the human species may not escape unscathed, in the same way as many other living species. It would already be too late...
And nothing to do with what was said at the time: “there are no more seasons, my good lady! That’s Sputnik’s fault! ".

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24 juin 2023 6 24 /06 /juin /2023 09:13

On n’entend que ça aujourd’hui ou presque : l’I.A. ! L’Intelligence Artificielle. On la voit partout, dans tous les domaines. Elle va tout chambouler dit-on. Et en Sciences ? Et en Physique ?

Là aussi, ça y va ! L’IA permet – pour l’instant – de traiter un très grand nombre de données (datas) très rapidement : c’est son avantage essentiel actuellement. Les expériences, mesures, observations, fournissent beaucoup d’informations qu’il faut traiter, interpréter. Des simulations, des modèles, mathématiques, sont élaborés et ainsi testés rapidement alors qu’extrêmement complexes.

Mais cela semble aller beaucoup plus loin : l’Institut de Physique Théorique (IPhT) de Saclay a tenté une nouvelle expérience…

Il a « demandé » à l’I.A. de bâtir une nouvelle théorie générale de physique, astrophysique, cosmologie, un peu à la manière de la Mécanique de Newton, l’électromagnétisme de Faraday, la Relativité d’Einstein, la Mécanique quantique… Rien que ça ! Et – le plus dur – d’en donner simplement les grands principes, l’aboutissement général, dénué des démonstrations et ne comportant que quelques équations mais totalement cohérente et répondant aux interrogations actuelles !

Le résultat devrait paraître, sous peu, dans la revue « Sciences ».

D’après les fuites, le résultat serait extraordinaire.

… alors que l’I.A. n’en est qu’à ses débuts et n’intègre pas encore l’informatique quantique…

RENE JUSVEL

PHYSICS - Will AI revolutionize physics?
We only hear that today or almost: the I.A. ! Artificial Intelligence. We see it everywhere, in all areas. She is going to turn everything upside down, they say. And in science? And in physics?
There too, that's it! AI makes it possible – for the moment – to process a very large amount of data very quickly: this is its essential advantage at present. Experiments, measurements, observations, provide a lot of information that must be processed and interpreted. Simulations, models, mathematics, are developed and thus tested quickly while extremely complex.
But it seems to go much further: the Institute of Theoretical Physics (IPhT) in Saclay has tried a new experiment...
He "asked" the A.I. to build a new general theory of physics, astrophysics, cosmology, a bit like Newton's mechanics, Faraday's electromagnetism, Einstein's relativity, quantum mechanics... Just that! And – the hardest part – to simply give the main principles, the general outcome, devoid of demonstrations and comprising only a few equations but totally coherent and responding to current questions!
The result should appear shortly in the journal “Sciences”.
According to the leaks, the result would be extraordinary.
…while the A.I. is only in its infancy and does not yet integrate quantum computing…

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27 mai 2023 6 27 /05 /mai /2023 10:09

Décidément, Perseverance nous réserve bien des surprises !!! En effet, le dernier rover en mission sur Mars continue, depuis 2020, à nous livrer ses découvertes dans son exploration de la surface martienne.

Jadis, on pensait qu’il y avait des martiens, de petits hommes verts… Mais, bien vite, Mars est apparue comme une planète aride, froide, ne pouvant héberger la vie.

Puis l’Homme y a déposé des engins d’exploration sur son sol…

D’abord, assez récemment, et notamment grâce à Perseverance, la présence d’eau, dans un  passé très lointain, y a été soupçonnée puis même confirmée. Mieux : il y en resterait peut-être encore, souterrainement !

Des traces de vie microbienne semblaient apparaître…

Jusqu’à cette révélation extraordinaire de la dernière communication de la NASA : la découverte de la présence de fossiles de mollusques !!! Photos à l’appui…

Cela remet en cause tout ce que l’on savait jusqu’alors sur cette planète. Elle aurait connu une période où elle était couverte d’océans, quelque chose ressemblant étrangement à la Terre… puis se serait asséchée, refroidie, pour devenir ce monde hostile d’aujourd’hui.

Et nous en sommes qu’au début ! Qui sait si, un jour, on n’y retrouvera pas un restant de statut de la Liberté…

RENE JUSVEL

PLANETOLOGY - Mollusk fossils on Mars
Decidedly, Perseverance has many surprises in store for us!!! Indeed, the last rover on a mission to Mars has continued, since 2020, to deliver its discoveries to us in its exploration of the Martian surface.
In the past, we thought that there were Martians, little green men... But, very quickly, Mars appeared as an arid, cold planet, unable to host life.
Then Man placed exploration machines on its soil...
First, fairly recently, and in particular thanks to Perseverance, the presence of water, in the very distant past, was suspected and then even confirmed. Better still: there might still be some, underground!
Traces of microbial life seemed to appear…
Until this extraordinary revelation of NASA's latest communication: the discovery of the presence of mollusc fossils!!! Supporting photos…
This calls into question everything we knew about this planet until then. She would have known a period when she was covered with oceans, something strangely resembling the Earth… then would have dried up, cooled, to become this hostile world of today.
And we are only at the beginning! Who knows if, one day, we won't find a remnant of the Statute of Liberty there...

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20 mai 2023 6 20 /05 /mai /2023 07:43

Il est vrai que ça y ressemblerait un peu : en effet, d’après la dernière communication de l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble (IPAG), l’intérieur de la Terre serait constitué de couches successives. Bon, ça, on le savait déjà plus ou moins.

L’idée serait que s’alterneraient des couches de densités différentes. Là, toujours OK. Mais la nouveauté plutôt révolutionnaire est qu’il y aurait alternance de couches de densités fortes et de densités faibles !? Ce qui expliquerait d’ailleurs les possibilités de mouvements dissociés de chaque couche dense. On avait déjà supposé cela en posant qu’un noyau ferrique tournerait autrement que la couche superficielle (là où se situe nos terres et nos océans) expliquant ainsi la variation, voire l’inversion, des pôles magnétiques.

Vous voyez maintenant le rapport avec le roman de Jules Verne lorsqu’il décrivait de grands espaces vides, comme un monde à l’intérieur de la Terre. On n’en est pas encore là…

En définitive, certes la densité augmenterait au fur et à mesure de la profondeur, mais de façon « sinusoïdale », avec des zones moins denses puis plus denses, puis moins denses…

Mais pensez aux nuages : ils sont plus lourds que l’air et pourtant… Cela rappelle aussi la répartition planétaire : comme si la gravité était modifiée et privilégiait certaines zones plus denses…

Cela reste un mystère et est à vérifier…

RENE JUSVEL

PLANETOLOGY - Journey to the Center of the Earth
It is true that it would look a bit like it: indeed, according to the latest communication from the Institute of Planetology and Astrophysics of Grenoble (IPAG), the interior of the Earth would be made up of successive layers. Well, that, we already knew more or less.
The idea would be that layers of different densities would alternate. There, still OK. But the rather revolutionary novelty is that there would be alternating layers of high densities and low densities!? This would also explain the possibilities of dissociated movements of each dense layer. We had already assumed this by positing that a ferric core would rotate differently than the surface layer (where our lands and oceans are located), thus explaining the variation, or even the inversion, of the magnetic poles.
Now you see the connection to Jules Verne's novel when he described large empty spaces, like a world inside the Earth. We are not there yet...
Ultimately, the density would certainly increase as the depth increases, but in a “sinusoidal” way, with less dense then more dense, then less dense areas…
But think of the clouds: they are heavier than air and yet... This also recalls the planetary distribution: as if gravity were modified and favored certain denser areas...
This remains a mystery and needs to be verified…

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6 mai 2023 6 06 /05 /mai /2023 07:56

Peut-être avez-vous déjà vu des représentations de parties de notre univers. Vous observez alors une image quelque peu étrange : certes des points qui sont des galaxies ou amas d’étoiles, mais aussi une « organisation » générale avec des tas de filaments reliant ces points lumineux.

C’est ce que les astronomes nomment la toile cosmique, une sorte de réseau reliant les amas de galaxies par des filaments galactiques séparés par des vides.

Jusqu’à présent, on expliquait ça, dans le cadre du modèle ˄-CDM (fluctuations de densités issues du Big-Bang)…

Un récent article publié par l’équipe Matière Interstellaire et Cosmologie de l’Université de Paris-Saclay, semble apporter une véritable explication à cette structure en filaments.

En fait, ces filaments correspondraient à des lignes de forces magnétiques ! Pour donner une image, il faut penser à la répartition de la limaille de fer autour d’un aimant. Sauf que là, pour le compte, la structure aimantée est bien plus complexe d’où cette répartition apparemment anarchique.

Et d’ailleurs, ces zones sont réputées comme froide, ce qui va bien avec le magnétisme.

Le magnétisme semble avoir une importance insoupçonnée…

RENE JUSVEL

COSMOLOGY - Magnetic filaments
Perhaps you have already seen representations of parts of our universe. You then observe a somewhat strange image: certainly points which are galaxies or clusters of stars, but also a general “organization” with piles of filaments connecting these luminous points.
This is what astronomers call the cosmic web, a kind of network connecting clusters of galaxies by galactic filaments separated by voids.
So far, we explained that, in the context of the ˄-CDM model (density fluctuations resulting from the Big-Bang)…
A recent article published by the Interstellar Matter and Cosmology team of the University of Paris-Saclay, seems to provide a real explanation for this filament structure.
In fact, these filaments correspond to lines of magnetic force! To give an image, we must think of the distribution of iron filings around a magnet. Except that there, on the count, the magnetic structure is much more complex, hence this apparently anarchic distribution.
And besides, these areas are known to be cold, which goes well with magnetism.
Magnetism seems to have an unsuspected importance…

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8 avril 2023 6 08 /04 /avril /2023 09:03

Aujourd’hui, nous consacrons notre rubrique périodique dédiée à la Physique ou astrophysique, à un aspect de la mécanique quantique, suite au dernier article de Philippe Grangier dans Foundations of physics.

Rassurez-vous, point de formules, peu de termes techniques, une vision simplifiée, claire.

On parle, en physique quantique, d’onde de probabilités : impossible de savoir, avec précision, la position ET la vitesse d’une particule. De fait, on ne peut avoir qu’une probabilité de position… Je n’irai pas plus loin dans l’explication.

Disons qu’en mécanique quantique, le paquet d’onde possède une signification particulière : il est interprété comme étant une onde de probabilité pour une particule dans un état donné d’avoir une position et une quantité de mouvement données.

Or on avait abordé déjà le sujet montrant qu’une onde électromagnétique ou gravitationnelle avait une propriété nouvellement découverte : la quantité de mouvement x la longueur d’onde est constante (=h/π). En fait, selon Philippe Grangier, tout est question d’interprétation : il n’y a pas de particules mais des concentrations de champs gravitationnels et donc impossible de véritablement localiser une particule en mouvement : ce n’est qu’une concentration diffuse d’un champ gravitationnel sur une demi longueur d’onde, avec un pic maximum.

Nous ne sommes probablement pas sur la même longueur d’onde ?

RENE JUSVEL

PHYSICS - Unlikely Probabilities
Today, we devote our periodic section dedicated to Physics or astrophysics, to an aspect of quantum mechanics, following the last article by Philippe Grangier in Foundations of physics.
Rest assured, no formulas, few technical terms, a simplified, clear vision.
We speak, in quantum physics, of probability waves: it is impossible to know, with precision, the position AND the speed of a particle. In fact, we can only have one position probability… I will not go further in the explanation.
Let's say that in quantum mechanics, the wave packet has a particular meaning: it is interpreted as being a wave of probability for a particle in a given state to have a given position and momentum.
However, we had already approached the subject showing that an electromagnetic or gravitational wave had a newly discovered property: the quantity of movement x the wavelength is constant (=h/π). In fact, according to Philippe Grangier, everything is a question of interpretation: there are no particles but concentrations of gravitational fields and therefore impossible to truly locate a moving particle: it is only a diffuse concentration of a gravitational field on a half wavelength, with a maximum peak.
We are probably not on the same wavelength?

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11 mars 2023 6 11 /03 /mars /2023 09:55

La lumière. Vous avez sûrement appris qu’il s’agit d’une onde électromagnétique. Et cette onde transversale (perpendiculaire au déplacement) est donc constituée d’un champ électrique et d’un champ magnétique, fluctuant selon une certaine fréquence ν, avec une certaine amplitude A, se « déplaçant » à la vitesse c et avec une certaine longueur d’onde λ.

h, la constante de Planck, vous est probablement moins familière. C’est une constante fondamentale en physique quantique.

Pour la lumière, elle permet de formuler son double aspect : onde et corpuscule par la fameuse loi : E=Mc²=hν donnant l’énergie d’une onde lumineuse en fonction de sa fréquence. Mais pas de son amplitude…

L’Institut Lumière-Matière de Lyon vient de soumettre une nouvelle hypothèse : l’amplitude serait une quantité de mouvement A=Mc et nous aurions alors la relation fondamentale : h=A*λ = Mc*λ. Mathématiquement, h/π serait l’intégrale de la fonction de l’onde lumineuse sur une demi longueur d’onde. Bref, la surface – constante - limitée par l’onde et l’axe de déplacement sur une demi-longueur d’onde.

Étrange ressemblance avec la longueur d’onde de De Broglie…

Vous avez déjà peut-être aussi appris, ici, qu’on pouvait considérer cette onde comme une onde gravitationnelle également, onde longitudinale associée… Nous y reviendrons. En attendant, même si vous n’avez pas tout suivi, vous pourrez toujours frimer…

RENE JUSVEL

PHYSICS - Planck's constant: new definition
The light. You have surely learned that it is an electromagnetic wave. And this transverse wave (perpendicular to the displacement) is therefore made up of an electric field and a magnetic field, fluctuating according to a certain frequency ν, with a certain amplitude A, "moving" at the speed c and with a certain length of wave λ.
h, Planck's constant, is probably less familiar to you. It is a fundamental constant in quantum physics.
For light, it makes it possible to formulate its double aspect: wave and particle by the famous law: E=Mc²=hν giving the energy of a light wave according to its frequency. But not of its amplitude…
The Lumière-Matière Institute in Lyon has just submitted a new hypothesis: the amplitude would be a momentum A=Mc and we would then have the fundamental relationship: h=A*λ = Mc*λ. Mathematically, h/π would be the integral of the function of the light wave over a half wavelength. In short, the surface - constant - limited by the wave and the axis of displacement on a half-wavelength.
Strange resemblance to De Broglie's wavelength...
You may have already learned here that this wave could also be considered a gravitational wave, an associated longitudinal wave... We will come back to this. In the meantime, even if you haven't followed everything, you can always show off...

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21 janvier 2023 6 21 /01 /janvier /2023 09:39

Notre dernière chronique scientifique avait signalé l’article récent, dans la revue La Recherche,  de l’astrophysicien Alessandro Morbidelli de l’Observatoire de Nice Côte d’Azur concernant une hypothèse sur la répartition planétaire.

Déjà, nous avions donné l’élément essentiel définissant la distance d’une planète d’un système à la suivante et ce fameux et étrange facteur2sin(π/3).

Il restait à définir la distance de la 1ère planète, la plus proche de l’astre central. C’est là qu’apparaissaient des relents de la limite de Roche. Eh bien la voilà : D = (√(3) +(2 * Roche * e)) * π3 * Rc * √(1-e²)  où « Roche » est la constante de Roche (2,422849865), « e » l’excentricité de cette 1ère planète, Rc le rayon de l’astre central.

Et là, intéressant: contrairement à la formule du manuscrit trouvé, il n'y a point de rayon 0 hypothétique. Cela permet d'intégrer certains systèmes exo-planétaires où la 1ère planète est plus proche que Mercure ne l'est du soleil.

Mieux, elle s'applique aussi tout bêtement à la distance Terre-Lune!!!... et à tous les systèmes satellitaires naturels des planètes de notre bon vieux système solaire.

En fait, pour la formule globale regroupant les distances de toutes les planètes : vous la trouverez dans l’article. À lire donc si ça vous dit.

RENE JUSVEL

PLANETOLOGY - A Precise Planetary Sequel 2
Our last scientific column reported the recent article, in the journal La Recherche, by astrophysicist Alessandro Morbidelli of the Nice Côte d'Azur Observatory concerning a hypothesis on planetary distribution.
Already, we had given the essential element defining the distance of a planet from one system to the next and this famous and strange factor 2sin(π/3).
It remained to define the distance of the 1st planet, the closest to the central star. This is where hints of the Roche limit appeared. Well here it is:

D = (√(3) +(2 * Roche * e)) * π3 * Rc * √(1-e²)  where "Roche" is Roche's constant (2.422849865), “e” the eccentricity of this 1st planet, Rc the radius of the central star.

And there, interesting: contrary to the formula of the found manuscript, there is no hypothetical radius 0. This makes it possible to integrate certain exo-planetary systems where the 1st planet is closer than Mercury is to the sun.
Even better, it also quite simply applies to the Earth-Moon distance!!!... and to all the natural satellite systems of the planets of our good old solar system.
In fact, for the global formula grouping the distances of all the planets: you will find it in the article. Read it if you feel like it.

 

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