Actualité Imaginaire : Le Premier Magazine de Fausses Nouvelles pour Explorer un Monde d'Inventions Créatives

Jus​​​​​​​qu’à présent, il y avait controverse : y a-t-il de l’eau sur Mars ? En tout cas, suite aux précédentes explorations des sondes Viking, tout laissait à croire qu’il y en avait eu. Mais y en a-t-il encore ? On pensait que peut-être, en sous-sol, sous forme de glace. Jusqu’au jour où, suite à la dernière exploration de Phoenix où la présence de glace fût confirmée, l’Institut Max Planck mis en doute que la majeure partie de l’eau sur Mars se présente sous forme de glace souterraine.

En effet, selon ce centre de recherche, il est fort probable que l’eau martienne se présente essentiellement sous forme d’eau sèche, c'est-à-dire de gouttes d’eau enrobées de silicium telle que décrite par le docteur Ben Carter de l’université de Liverpool, suivant deux scientifiques français du Collège de France, Pascale Aussillous et David Quéré. On verrait là une version naturelle de ce concept que l’on imaginait comme pure conception humaine.

Reste maintenant à confirmer ou infirmer cette nouvelle hypothèse lors de l’envoi de la prochaine sonde.

C’est vrai que dans ce cas, nos futurs astronautes auront quelques difficultés pour le pastis…

RENE JUSVEL

ASTRONOMY - Dry water on Mars?
Until now, there was controversy: is there water on Mars? In any case, following previous explorations of Viking probes, everything suggested that there had been. But are there any more? It was thought that perhaps, underground, in the form of ice. Until the day when, following the last exploration of Phoenix where the presence of ice was confirmed, the Max Planck Institute questioned that most of the water on Mars comes in the form of underground ice.
Indeed, according to this research center, it is very likely that Martian water is mainly in the form of dry water, that is to say of water drops coated with silicon as described by Dr. Ben Carter from the University of Liverpool, following two French scientists from the College of France, Pascale Aussillous and David Quere. We would see here a natural version of this concept that we imagined as pure human conception.
It remains to confirm or refute this new hypothesis when sending the next probe.
It is true that in this case, our future astronauts will have some difficulties for pastis ...

Vous savez : 2 droites sont dites parallèles si elles n’ont aucun point commun. Voilà que cet axiome, serait remis en question ! En fait, il s’agit d’une nouvelle branche des mathématiques définie par l’Institut de Physique Théorique de Saclay. Le principe (enfin l’un d’entre eux) est qu’il existe toujours un point d’observation d’une situation géométrique et que, par exemple, 2 droites réputées comme parallèles observées d’un point à égale distance de ces 2 droites (donc entre les deux), se rejoignent à une certaine distance dépendant de celle entre ce point et la projection orthogonale du point sur les droites. Cela explique, entre autres, que, étrangement, l’observation astronomique n’avait pas révélé de corps célestes au-delà du Big Bang alors que si celui-ci avait eu lieu à un point précis, avec extension tout autour, fatalement, il devrait être observable des astres diamétralement opposés donc au-delà du point d’origine. Dans cette hypothèse, la théorie du Big Bang peut alors se concilier avec la notion d’univers statique puisque tout ce qui est éloigné (dans l’espace et le temps) doit sembler se rejoindre.

Les artistes peintres ont enfin leur revanche : voilà que le point de fuite devient une « réalité » !!!

RENE JUSVEL

MATHEMATICAL PHYSICS - 2 lines are said to be parallel ...

You know: 2 straight lines are said to be parallel if they have nothing in common. This axiom would be called into question! In fact, it is a new branch of mathematics defined by the Institute of Theoretical Physics of Saclay. The principle (and finally one of them) is that there is always a point of observation of a geometrical situation and that, for example, 2 lines reputed as parallel observed from a point equidistant from these 2 straight lines (therefore between the two), meet at a certain distance depending on the distance between this point and the orthogonal projection of the point on the straight lines. This explains, among other things, that, strangely, the astronomical observation had not revealed celestial bodies beyond the Big Bang whereas if it had taken place at a precise point, with extension all around, fatally, it should be observable of the stars diametrically opposed thus beyond the point of origin. In this hypothesis, the Big Bang theory can then be reconciled with the notion of static universe since everything that is distant (in space and time) must seem to join.
Painters finally have their revenge: now the vanishing point becomes a "reality" !!!

Suite aux travaux de l’Institut de Physique de Berlin (voir autre article ici), le laboratoire d’astronomie de Marseille travaille actuellement sur une interprétation macroscopique du champ ondulatoire. En fait, il s’agit de définir les lois physiques qui conditionnent les anneaux de Saturne mais, plus généralement, ce qui définit les orbites privilégiées des satellites naturels des astres. Et il semble que ces travaux soient prometteurs ! En effet, le positionnement des planètes – ou du moins des orbites de ces planètes - autour du soleil n’est pas le fruit du hasard mais bel et bien une répartition à des distances respectives du soleil qui répondent à des équations issues de combinaisons de champs ondulatoires de forces. En quelques sortes une harmonique macroscopique des champs de forces engendrés par les masses impliquées (soleil, planètes) créant des « lieux » d’équilibres où se logent les orbites planétaires. Cette répartition est celle que l’on retrouve, de manière plus diffuse mais donc plus précise, dans les anneaux de Saturne. Evidemment, on peut voir là quelque chose de fort semblable à la structure de l’atome avec ses orbites électroniques… Ah, c’est comme faire des ronds dans l’eau, mais éternels…

RENE  JUSVEL

PHYSICAL - From the atom to the rings of Saturn
Following the work of the Institute of Physics of Berlin (see other article here), the Marseilles astronomy laboratory is currently working on a macroscopic interpretation of the wave field. In fact, it is a question of defining the physical laws which condition the rings of Saturn but, more generally, which defines the privileged orbits of the natural satellites of the stars. And it seems that these works are promising! Indeed, the positioning of the planets - or at least the orbits of these planets - around the sun is not the result of chance but rather a distribution at respective distances from the sun that respond to equations from combinations of fields. undulatory forces. In some ways a macroscopic harmonic of the fields of forces generated by the masses involved (sun, planets) creating "places" of equilibrium where the planetary orbits are lodged. This distribution is the one found, in a more diffuse but therefore more precise way, in the rings of Saturn. Obviously, we can see there something very similar to the structure of the atom with its electronic orbits ... Ah, it's like making circles in the water, but eternal 

C’est l’expression que vous entendez venant des personnes âgées. En effet, l’impression générale est que plus on vieillit, plus le temps semble passer vite.

C’est à partir de cette remarque que le professeur Jean Axian, de l’Institut de Psychologie de Paris V, a émis l’hypothèse que le temps psychologique n’était pas d’un déroulement uniforme au cours de la vie. Il s’agit d’une « accélération du temps » au fur et à mesure que la vie d’un individu passe.

La durée subjective s’avère être ce que représente une durée sur l’ensemble de la vie déjà écoulée. 1 an, c’est 1/5 de sa vie pour un enfant de 5 ans et 1/50 pour un adulte de 50 ans. Bref, 10 ans, à l’âge de 50 ans, semble passer aussi vite qu’1 an, lorsque l’on a 5 ans ! D’où cette impression que plus ça va, plus les années passent vite.

Ça paraît aussi vrai pour l’évolution de l’espèce humaine qui semble s’accélérer…

Maintenant, temps scientifique, temps psychologique, y-a-t-il vraiment grande différence ? Le temps est-il vraiment linéaire ? De quelle manière évolue-t-il depuis le Big Bang ?... sachant que le temps scientifique est perçu par l’homme.

RENE JUSVEL

PSYCHOLOGY - How time goes!
This is the expression you hear from the elderly. Indeed, the general impression is that the older you get, the more time seems to pass quickly.
It is from this remark that Professor Jean Axian, of the Institute of Psychology of Paris V, hypothesized that the psychological time was not of a uniform course during the life. It is an "acceleration of time" as the life of an individual passes.
The subjective duration turns out to be what represents a duration over the whole of the life already elapsed. 1 year is 1/5 of his life for a 5 year old and 1/50 for a 50 year old. In short, 10 years, at the age of 50, seems to spend as fast as 1 year, when you are 5 years old! Hence the impression that the more things go, the faster the years go by.
It also seems true for the evolution of the human species which seems to accelerate ...
Now, scientific time, psychological time, is there really a big difference? Is the weather really linear? How is it evolving since the Big Bang? ... knowing that scientific time is perceived by man.

Une mémoire génétique ?

Nous connaissons tous la transmission héréditaire du patrimoine génétique qui perpétue certaines caractéristiques morphologiques. Un poisson donne naissance à un poisson, un humain à un humain, et même retrouve-t-on ainsi des ressemblances de telle personne à sa progéniture, non à l’identique puisqu’issue de 2 individus.

Et l’évolution, jusqu’à présent, était considérée comme suite à des mutations aléatoires dont certaines étaient viables, d’autres non.

Mais on parle de plus en plus de « mémoire génétique ».

Ces mutations seraient la « matérialisation » d’un apprentissage génétique : en fait, au-delà des mémoires à court et long terme, apanage du cerveau, il y aurait une mémorisation génétique. Ainsi, les actions répétitives et régulières, souvent liées à la survie, seraient, à long terme, en fin de comptes, « mémorisées »  dans le code génétique, provoquant ainsi de fines mutations qui se transmettraient alors, lors de la reproduction, à la descendance.

A ne pas confondre avec certaines idées de science-fiction.

RENE JUSVEL

A genetic memory?
We all know the inheritance of genetic inheritance that perpetuates certain morphological characteristics. A fish gives birth to a fish, a human to a human, and even there are similar resemblances of such a person to his offspring, not the same because of 2 individuals.
And evolution, so far, was considered as a result of random mutations some of which were viable, others not.
But we are talking more and more about "genetic memory".
These mutations would be the "materialization" of a genetic learning: in fact, beyond the short and long-term memories, appanage of the brain, there would be a genetic memorization. Thus, repetitive and regular actions, often linked to survival, would be, in the long term, ultimately "memorized" in the genetic code, thus causing fine mutations that would then be transmitted, during reproduction, to the offspring.
Not to be confused with some science fiction ideas.

Nous avons évoqué (brève précédente) l’orientation actuelle sur l’hérédité génétique.

Mais l’hypothèse révolutionnaire émise par le professeur Georges Paulson, dans la revue Nature serait qu’il y aurait également un « héritage événementiel ».

Suite à une étude sur un grand nombre de « patients », il a constaté que les événements survenant dans la vie d’un individu se reproduisaient de génération en génération. Bien sûr, il ne s’agit d’une reproduction à l’identique mais s’adaptant au contexte nouveau.

Cela va plus loin que les constations des psychologues sur la transmission par l’éducation au sens large (contexte de la petite enfance). Il s’agit bel et bien de la survenue d’événements non dépendants de l’individu en cause.

Cette théorie est audacieuse car elle sous-entend une autre conception du cours des choses, une sorte de destinée, de fatalisme.

Gageons que cette hypothèse provoquera réactions du monde scientifique car elle remet en cause bien au-delà de la simple génétique ou de la psychologie.

RENE JUSVEL

An eventual heredity?
We have mentioned (previous brief) the current focus on genetic inheritance.
But the revolutionary hypothesis emitted by Professor Georges Paulson in the journal Nature would be that there would also be an "event heritage".
Following a study of a large number of "patients", he found that events occurring in the life of an individual recurred from generation to generation. Of course, it is not a reproduction identical but adapting to the new context.
This goes beyond the findings of psychologists on the transmission through education in the broad sense (context of early childhood). This is indeed the occurrence of events not dependent on the individual in question.
This theory is audacious because it implies another conception of the course of things, a kind of destiny, of fatalism.
Let us hope that this hypothesis will provoke reactions from the scientific world because it calls into question far beyond mere genetics or psychology.