MEDIA L’I.A contre les fake news

Côté médias, c’est la grande préoccupation du moment : les fake news, « le mal du siècle » ont titré dernièrement certains journaux…

Mais peut-être bientôt la solution !? En effet, Google – encore lui ! – a peut-être la parade.

Nous savions (article ici, il y a quelques temps) que Google travaillait sur l’I.A., l’Intelligence Artificielle, notamment pour améliorer ses algorithmes de recherches et sa Home Box.

Rechercher et proposer des informations qui sont fausses, les sélectionner, les mettre en avant, ce n’est pas top.

Certes, il y avait déjà la marque de site de confiance mais pas forcément fiable. Là, Google va plus loin : il passe au crible les sites et les fait analyser par l’I.A. Le principe de base, pour résumer, est de vérifier si l’information n’est pas contradictoire avec celles d’autres sites de confiance. Bon, pour l’instant, c’est le fait majoritaire qui l’emporte, et le critère de confiance des sites. Et cela ne concerne, pour l’instant, que l’information écrite : ni les images, ni les vidéos, encore moins le son.

Mais le principe est là. Il manque – mais ce n’est pas son domaine – la même surveillance pour les réseaux sociaux. L’idée devrait alors sans doute faire son chemin car c’est là où la pollution est la plus grande et l’action plus impérative.

Que vais-je devenir à ne faire que des fake news ?...

RENE JUSVEL

MEDIA - AI against fake news
On the media side, this is the big concern of the moment: fake news, “the evil of the century” has recently been headlined by some newspapers…
But maybe the solution will soon be there!? Indeed, Google – him again! – perhaps has the parade.
We knew (article here, some time ago) that Google was working on A.I., Artificial Intelligence, in particular to improve its search algorithms and its Home Box.
Searching for and offering information that is false, selecting it, highlighting it, it’s not great.
Certainly, there was already the brand of trusted site but not necessarily reliable. There, Google goes further: it sifts through the sites and has them analyzed by AI. The basic principle, to summarize, is to check whether the information is not contradictory with that of other trusted sites. Well, for the moment, it is the majority fact that prevails, and the criterion of trust of the sites. And this only concerns, for the moment, written information: neither images, nor videos, even less sound.
But the principle is there. It lacks – but this is not its domain – the same monitoring for social networks. The idea should then undoubtedly gain ground because this is where the pollution is greatest and action is most imperative.
What will become of me if I only make fake news?...