
Les habitudes évoluent.
Et notamment en ce qui concerne les médias.
Dire que c’est la fin de la télé, non, mais…
En fait, les dernières enquêtes, type Médiamétrie, révèlent une évolution semblable à celle constatée pour d’autres médias, comme les journaux, les livres, la radio même, qui existent toujours mais dont l’usage a diminué.
Encore un effet d’Internet et du numérique : les podcasts, replays, tablettes, Netflix, streamings et autres YouTube, ont de plus en plus de succès d’audiences.
Le « téléspectateur », maintenant, veut du sur-mesure.
Des films, des séries, mais aussi des reportages, des documentaires, des informations, selon son bon plaisir.
Le coup de grâce a été donné lorsque BFM-TV a rendu possible les bulletins d’information à la demande, garantis de moins de 3 heures.
Et l’apparition de « TV One, la TV à la demande ».
Fini le « y a quoi, ce soir, à la télé » ?
RENE JUSVEL
MEDIA: The end of the TV?
Habits are changing. And especially with regard to the media.
Say it's the end of the TV, no, but ...
In fact, the latest surveys, like Médiamétrie, reveal a similar evolution to that observed for other media, such as newspapers, books, radio itself, which still exist but whose use has decreased.
Another effect of the Internet and digital: podcasts, replays, tablets, Netflix, streamings and other YouTube, have more and more successful audiences.
The "viewer" now wants custom-made. Films, series, but also reports, documentaries, information, according to his pleasure.
The coup de grace was given when BFM-TV made it possible to send newsletters on demand, guaranteed for less than 3 hours.
And the appearance of "TV One, the TV on demand".
No more "what's up tonight on TV"?