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12 mars 2025 3 12 /03 /mars /2025 09:48

Comme dit précédemment, nous y revenons, notre univers a ses limites, des plus petites aux plus grandes. Grâce à Planck et sa constante h, nous connaissons les plus petites mais, jusqu’alors, hormis l’apport de Dirac, point de h’ permettant de définir les plus grandes.
C’est fait ! Allez, quelques chiffres et formules :
Constante de Planck, h = 6,62607015*10^-34 J
La fameuse constante « univers », h’ = 2,32820455*10^88 J
De là, on tire h/h’ = 2,846*10^-122, sans dimension car en unités de longueur de Planck soit 2,846*10^-122 / (1,616 × 10−35)² =   1,0894696608*10^-52 m-2… C’est la Constante Cosmologique Ʌ, qu’Einstein avait ajoutée à son équation pour mieux définir l’univers ! En fait, on a h = 2πc3 / Ʌ*G.
De là, on applique les différentes formules de Planck mais avec h’ au lieu de h, et on obtient l’âge de l’Univers (au lieu du temps minimum de Planck), la grandeur de l’Univers (en fait le rayon de Hubble / √3  , au lieu de la longueur minimum de Planck), la masse de l’Univers même et plein d’autres choses. On a, de la même manière, une « constante atomique » Ʌ’ telle que Ʌ / Ʌ’ = 2,846*10^-122 avec donc Ʌ’ = 3,828073115*10^69 soit l’inverse de la longueur de Planck au carré !
Merveilleux Univers à encore découvrir…

RENE JUSVEL / Hubert MASSAU

ASTROPHYSICS - The Limits of the Universe - Continued
As mentioned earlier, we're back to the subject: our universe has its limits, from the smallest to the largest. Thanks to Planck and his constant h, we know the smallest limits, but until now, apart from Dirac's contribution, there's no h' to define the largest limits.
It's done! Here are some numbers and formulas:
Planck's constant, h = 6.62607015*10^-34 J
The famous "universe" constant, h' = 2.32820455*10^88 J
From this, we get h/h' = 2.846*10^-122, dimensionless because in Planck length units, i.e., 2.846*10^-122 / (1.616 ×10−35)² = 1.0894696608*10^-52 m-2… This is the Cosmological Constant Ʌ, which Einstein added to his equation to better define the universe! In fact, we have h = 2πc3 / Ʌ*G. From there, we apply the various Planck formulas but with h' instead of h, and we obtain the age of the Universe (instead of the minimum Planck time), the size of the Universe (in fact the Hubble radius / √3, instead of the minimum Planck length), the mass of the Universe itself, and many other things. We have, in the same way, an "atomic constant" Ʌ' such that Ʌ / Ʌ' = 2.846*10^-122 with therefore Ʌ' = 3.828073115*10^69, or the inverse of the Planck length squared!
A wonderful Universe yet to be discovered...

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9 mars 2025 7 09 /03 /mars /2025 19:42

L’Univers, tout ce qui existe, c’est le cosmos, certes, mais aussi l’infiniment petit, de l’atome aux galaxies et même plus. Mais est-ce l’infini, petit et grand, ou y a-t-il des limites, inférieures et supérieures ?

Il semble que oui : Planck, avec la Mécanique quantique, a montré qu’il n’y avait pas d’infiniment petit mais des limites, au temps, à la dimension : le temps de Planck, la longueur de Planck… Rien ne peut être plus petit. En astronomie aussi : l’univers a une certaine dimension, a un certain âge : rien au-delà, rien avant.

Dans le domaine microscopique, les limites ont été définies, notamment grâce à la fameuse constante de Planck. Mais pour le macroscopique, point de constante pour cela, des approximations suite à des tentatives de mesures.

Et pourtant, en son temps, un certain Dirac avait remarqué que les calculs semblaient permettre de passer de l’infiniment petit à l’infiniment grand en changeant simplement d’échelle, une certaine similitude, son « hypothèse des grands nombres ».

Le Laboratoire Univers et Particules de Montpellier a repris cette hypothèse et vient de la formaliser quasi complètement.

Maintenant, on sait qu’il existe une autre constante h’, équivalente à h, la constante de Planck, mais pour l’infiniment grand.

Nous y reviendrons très prochainement…

RENE JUSVEL / Hubert MASSAU

ASTROPHYSICS - the limits of the Universe
The Universe, all that exists, is the cosmos, of course, but also the infinitely small, from the atom to the galaxies and even more. But is it the infinite, small and large, or are there limits, lower and upper?
It seems so: Planck, with Quantum Mechanics, showed that there was no infinitely small but limits, to time, to dimension: Planck time, Planck length… Nothing can be smaller. In astronomy too: the universe has a certain dimension, has a certain age: nothing beyond, nothing before.
In the microscopic domain, the limits have been defined, in particular thanks to the famous Planck constant. But for the macroscopic, no constant for this, approximations following attempts at measurements.
And yet, in his time, a certain Dirac had noticed that calculations seemed to allow one to go from the infinitely small to the infinitely large by simply changing scale, a certain similarity, his "hypothesis of large numbers".
The Laboratoire Univers et Particules in Montpellier has taken up this hypothesis and has just formalized it almost completely.
We now know that there is another constant h', equivalent to h, Planck's constant, but for the infinitely large.
We will come back to this very soon...

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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 11:30

Décidément, les idées reçues – et vérifiées – ne sont pas à l’abri de chamboulements… « Il y a conservation de l’énergie avec le temps » : tout le monde (scientifique) en est d’accord ! Sauf que, sauf que… certes, l’énergie se transforme et se conserve dans ces transformations. mais, au cours du temps, depuis le Big-Bang, est-ce toujours le cas ?

Une récente note, parue dans la pourtant très sérieuse revue Science, évoque que l’énergie globale de l’Univers diminuerait avec le temps !? Non pas suite à transformation, mais « naturellement », avec le simple écoulement du temps !!!

L’explication en est assez troublante. Elle ferait se rejoindre la Relativité et la Mécanique quantique. Eh oui : interprétation spéciale de la fameuse formule : E=hν ou h/T où T n’est plus considéré comme une fréquence mais comme l’âge de l’Univers donc E très grande à l’origine et de plus en plus faible avec le temps qui passe ! Étrange, non ?

Autre interprétation : ν est une fréquence donc peut être assimilée à une vitesse de rotation ω. Donc on peut associer cela à un univers qui tourne sur lui-même (quel référentiel ?) de plus en plus lentement avec le temps.

Mieux : ce qui s’applique à l’Univers s’appliquerait aussi à la matière, considérée comme un renfoncement dans le passé, un peu plus proche du Big-Bang (d’où concentration plus forte d’énergie)… et compatible avec le ralentissement du temps (Relativité). Trop fort !!!

RENE JUSVEL / Hubert Massau

PHYSICS - Wouldn't the energy be constant?
Clearly, received – and verified – ideas are not immune to upheaval… “There is conservation of energy over time”: everyone (scientist) agrees! Except that, except that... of course, energy is transformed and preserved in these transformations. but, over time, since the Big Bang, has this always been the case?
A recent note, published in the very serious journal Science, suggests that the overall energy of the Universe would decrease over time!? Not following transformation, but “naturally”, with the simple passage of time!!!
The explanation is quite disturbing. It would bring together Relativity and Quantum Mechanics. Yes: special interpretation of the famous formula: E=hν or h/T where T is no longer considered as a frequency but as the age of the Universe therefore E very large initially and increasingly weaker with time passing! Strange, right?
Another interpretation: ν is a frequency and can therefore be compared to a rotation speed ω. So we can associate this with a universe which rotates on itself (what frame of reference?) more and more slowly over time.
Better: what applies to the Universe would also apply to matter, considered as a recess in the past, a little closer to the Big Bang (hence higher concentration of energy)… and compatible with the slowing down of time (Relativity). Too strong !!!

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6 avril 2024 6 06 /04 /avril /2024 08:37

C’est le titre d’un récent article en provenance de l’Institut de Psychologie (Université de Paris Cité) dans la revue québécoise « Science & comportement ».

Une bien étrange approche y est faite, frisant le mysticisme.

Imaginez : certaines personnes seraient quasiment la réincarnation de personnes disparues, mortes… !? En fait pas exactement réincarnation, les « manipulés », comme ils sont nommés dans l’article, sont des gens normaux, comme vous et moi, sauf que susceptibles – plus que d’autres -  de tomber sous l’influence comportementale de personnes décédées !!! Ah oui, quand même !... Cela suppose qu’il reste quelque chose (une âme, un fantôme,…?) d’un être lorsqu’il est mort : limite déjà. Et que ce défunt utiliserait une personne vivante, le fameux manipulé, ayant d’ailleurs une personnalité proche de celle du mort, afin de continuer à avoir une action dans le monde des vivants. Ainsi, le manipulé agirait sous influence du disparu. Ce dernier pouvant même influencer le cours des choses pour arriver à ses fins.

Donc point de fantôme, de réincarnation, non, mais influence forte d’une personne décédée, inconnue de l’exécutant vivant, choisie par le disparu pour accomplir une tâche à sa place, qu’il ne peut plus assurée lui-même puisque mort.

L’article se veut une simple digression sans fondement scientifique… mais intéressante, intrigante, non ?!

RENE JUSVEL / Hubert Massau

PSYCHOLOGY - The Manipulated
This is the title of a recent article from the Institute of Psychology (University of Paris Cité) in the Quebec journal “Science & Behavior”.
A very strange approach is taken there, bordering on mysticism.
Imagine: some people are almost the reincarnation of missing, dead people...!? In fact not exactly reincarnation, the “manipulated”, as they are called in the article, are normal people, like you and me, except that they are likely – more than others – to fall under the behavioral influence of deceased people. !!! Ah yes, all the same!... This supposes that there is something left (a soul, a ghost,...?) of a being when he is dead: already limit. And that this deceased would use a living person, the famous manipulated person, having a personality close to that of the dead, in order to continue to have an action in the world of the living. Thus, the manipulated would act under the influence of the disappeared. The latter can even influence the course of things to achieve its ends.
So no ghost, no reincarnation, no, but strong influence of a deceased person, unknown to the living performer, chosen by the deceased to accomplish a task in his place, which he can no longer carry out himself since dead. .
The article is intended to be a simple digression without scientific basis... but interesting, intriguing, right?!

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24 février 2024 6 24 /02 /février /2024 12:00

Si vous connaissez une constance en physique, ce sera sûrement G, constante de gravitation, de Newton, selon la fameuse Loi  universelle de la gravitation, de celui-ci : F=GMM’/D².

Mais, contrairement à d’autres constantes physiques, il s’avère difficile d’en avoir une mesure précise. Au point qu’il avait déjà été évoqué qu’elle ne soit pas si constante que ça…

On y arrive : G ne serait pas constante mais deviendrait de plus en plus grande avec le temps, depuis la création de l’univers ! Et ainsi rejoindrait c, vitesse de la lumière, qui augmente ainsi également avec le temps.

Seules seraient constantes la masse de l’univers et l’accélération de son expansion !

C’est la conclusion, hypothétique, issue de l’université de Sherbrooke (revue Astrophysics).

Les conséquences ? : G augmentant avec le temps, il augmenterait aussi avec la distance, ce qui aurait l’avantage de pouvoir alors se passer de la matière noire pour expliquer pourquoi l’attraction ne diminue plus avec la distance au centre des galaxies !... et même rendrait inutile la constante cosmologique d’Einstein !

Et tout cela rentrerait dans une conception de l’univers quelque peu différente de celle actuellement admise. Nous y reviendrons…

RENE JUSVEL

PHYSICS - Newton's inconstancy
If you know a constancy in physics, it will surely be G, Newton's gravitational constant, according to the famous universal law of gravitation, of this one: F=GMM'/D².
But, unlike other physical constants, it is difficult to have a precise measurement. To the point that it had already been mentioned that it is not that constant…
We get there: G would not be constant but would become larger and larger over time, since the creation of the universe! And thus it would reach c, the speed of light, which thus also increases with time.
Only the mass of the universe and the acceleration of its expansion would be constant!
This is the hypothetical conclusion from the University of Sherbrooke (Astrophysics journal).
The results ? : G increasing with time, it would also increase with distance, which would have the advantage of being able to do without dark matter to explain why the attraction no longer decreases with distance from the center of galaxies!... and would even render Einstein's cosmological constant useless!
And all this would fit into a conception of the universe somewhat different from that currently accepted. We will come back to that…

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27 janvier 2024 6 27 /01 /janvier /2024 09:16

Les physiciens s’amusent comme ils peuvent et ils font preuve parfois d’une imagination délirante.

Ainsi, à l’Université de Genève, un groupe de chercheurs s’est demandé s’il pouvait exister un trou noir électrique ?!

Explication : nos bons vieux trous noirs gravitationnels  - dont nous n’allons pas redonner la description physique – ont un rayon dit de schwarzschild défini par R = 2GM/c². G constante de gravitation, M masse, c vitesse de la lumière. Mais alors si on s’intéresse non plus à la masse mais à la charge électrique, alors on remplace M par Q (la charge) et G par (1/(4π ɛ0)) selon la Loi de Coulomb, ce qui donne R = 2*((1/(4π ɛ0)) Q / c².

Quel intérêt me direz-vous ?

On obtient R = 3,2*10^-23m. Or, jusqu’à présent, la seule chose que l’on savait, c’était que le rayon de l’électron devait être inférieur à 10^-22m… Étrange, non ?

L’électron est considéré comme n’ayant aucun sous-constituant. De là à imaginer que ce serait un micro trou noir électrique…

N’empêche que l’idée y est évoquée dans le dernier numéro de La Recherche et, quoique surprenante, fait le buzz dans le petit monde des physiciens.

Maintenant, vous aussi, vous êtes au courant…

RENE JUSVEL

PHYSICS – An electric black hole?
Physicists have fun as best they can and they sometimes show a delirious imagination.
So, at the University of Geneva, a group of researchers wondered if there could be an electric black hole?!
Explanation: our good old gravitational black holes - the physical description of which we are not going to give again - have a so-called schwarzschild radius defined by R = 2GM/c². G gravitational constant, M mass, c speed of light. But then if we are no longer interested in the mass but in the electric charge, then we replace M by Q (the charge) and G by (1/(4π ɛ0)) according to Coulomb's Law, which gives R = 2*((1/(4π ɛ0)) Q / c².
What interest will you tell me?
We obtain R = 3.2*10^-23m. However, until now, the only thing we knew was that the radius of the electron had to be less than 10^-22m... Strange, right?
The electron is considered to have no subconstituents. From there to imagine that it would be a micro electric black hole…
However, the idea is mentioned in the latest issue of La Recherche and, although surprising, is creating a buzz in the small world of physicists.
Now you too are aware…

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20 janvier 2024 6 20 /01 /janvier /2024 09:04

C’est ce que vous pourriez voir un jour en visitant le parc naturel protégé de la Vanoise, enfin une partie essentiellement.

En effet, un vaste projet dans ce sens vient d’y être lancé. Il s’agit d’étudier scientifiquement, sur le long terme, l’évolution d’animaux domestiques retournant à l’état sauvage.

Jusqu’à présent, le chemin était inverse : l’homme, au cours de son évolution, de son histoire, a domestiqué nombre d’animaux sauvages. Chevaux, volailles, bovins, ovins, porcins, caprins, et d’autres, ont été soumis aux besoins de l’Homme, sélectionnés même, solution plus propice que la simple chasse, comme d’ailleurs les végétaux par l’agriculture remplaçant la cueillette.

Cela avait entrainé, semble-t-il, des modifications génétiques, forcées ou non, bref, des espèces différentes. Les vaches redeviendront-elles des aurochs d’il y a 10.000 ans ? Des cochons des sangliers, des moutons des mouflons, des chats des chats sauvages, des chiens des loups,…

Question : est-ce qu’une espèce domestique peut redevenir sauvage, à la manière du mouflon de Corse ou du mustang d’Amérique du Nord, telle qu’elle était avant, ou une nouvelle espèce? C’est là le thème de cette expérimentation.

Visite interdite au Petit Chaperon rouge, évidemment !

RENE JUSVEL

ZOOLOGY - Wild domestic animals
This is what you could see one day while visiting the Vanoise protected natural park, well essentially part of it.
Indeed, a vast project in this direction has just been launched there. This involves scientifically studying, over the long term, the evolution of domestic animals returning to the wild.
Until now, the path has been the opposite: man, in the course of his evolution and his history, has domesticated a number of wild animals. Horses, poultry, cattle, sheep, pigs, goats, and others, have been submitted to the needs of Man, even selected, a more favorable solution than simple hunting, as have plants by agriculture replacing picking.
This had apparently led to genetic modifications, forced or not, in short, different species. Will cows become the aurochs of 10,000 years ago again? Pigs, wild boars, sheep, mouflons, cats, wild cats, dogs, wolves, etc.
Question: can a domestic species become wild again, like the Corsican mouflon or the North American mustang, as it was before, or a new species? This is the theme of this experiment.
No visit to Little Red Riding Hood, obviously!

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4 janvier 2024 4 04 /01 /janvier /2024 18:51

Nous avions déjà parlé ici du fait que les planètes soit s’éloignaient, soit se rapprochaient du soleil pour rejoindre leur orbite de stabilité. Cela influait d’ailleurs sur leur vitesse et sens de rotation intrinsèque.

Mais ce qui vient d’être mis en évidence, toujours par le même groupe de travail, c’est que ce mouvement peut aller jusqu’à une alternance rapprochement – éloignement par rapport au soleil (variations légères autour de l’orbite d’équilibre allant en s’atténuant avec le temps).

Et - là est la nouveauté et l’importance - ce phénomène est, pour la Terre, à l’origine des périodes glaciaires et interglaciaires !

Jusqu’à présent, on n’avait pas de véritable explication de ces périodes climatiques terrestres. Il semblait qu’effectivement, elles étaient liées à des modifications de l’orbite terrestre, depuis les travaux de Milankovitch et ses cycles mais surtout à l’excentricité, l’obliquité, la précession des équinoxes de l’orbite sans plus de raisons de ces variations.

Ainsi, il semble que, grâce à cette contribution, la théorie astronomique des paléoclimats fasse un bond important car cela s’applique alors à toutes les planètes : Mars et Vénus seraient donc concernées… Et la cyclostatigraphie (étude de ces cycles) aussi.

La Terre s’éloigne du soleil donc nous irions vers une période glaciaire mais il ne faut pas compter là-dessus pour palier le réchauffement climatique actuel dû au comportement humain…

RENE JUSVEL

CLIMATOLOGY - Glaciations linked to the Earth's orbit?
We have already talked here about the fact that the planets are either moving away from or approaching the sun to reach their orbit of stability. This also influenced their intrinsic speed and direction of rotation.
But what has just been highlighted, still by the same working group, is that this movement can go as far as an alternation of rapprochement – distance from the sun (slight variations around the equilibrium orbit decreasing over time).
And - here is the novelty and the importance - this phenomenon is, for the Earth, at the origin of the glacial and interglacial periods!
Until now, there was no real explanation for these terrestrial climatic periods. It seemed that indeed, they were linked to modifications of the earth's orbit, since the work of Milankovitch and his cycles but above all to the eccentricity, the obliquity, the precession of the equinoxes of the orbit without any more reasons to these variations.
Thus, it seems that, thanks to this contribution, the astronomical theory of paleoclimates makes a significant leap because it then applies to all the planets: Mars and Venus would therefore be concerned... And cyclostatigraphy (study of these cycles) too.
The Earth is moving away from the sun so we would be heading towards an ice age but we should not count on this to compensate for current global warming due to human behavior...

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25 novembre 2023 6 25 /11 /novembre /2023 09:52

Les récentes observations du télescope spatial James Webb nous fournissent de nouvelles informations qui semblent remettre en cause certaines idées pourtant couramment admises jusqu’ici.

C’est notamment le cas à propos du Big-Bang. Ce « commencement » de l’univers, il y aurait 13,7 milliards d’années, ne le serait pas ! Car, si c’était le cas, les galaxies les plus lointaines, qui devraient être les plus « anciennes », les plus proches de la création de l’univers, ne pourraient en être à un stade de développement similaire aux galaxies comme la nôtre, qui a vécu… Or, JW a révélé le contraire !? L’univers, alors, devrait être beaucoup plus vieux…

Une hypothèse – qui reste à confirmer – serait que l’univers aurait toujours existé !? Et la comparaison illustrative serait que la situation est similaire à un point de fuite, un peu comme les rails ferroviaires parallèles qui apparaissent comme se rejoignant au loin. Nous avions déjà évoqué cette vision précédemment. Pour comprendre un peu mieux le phénomène, il faut savoir que l’observation dépend de la lumière qui nous parvient, à 300.000km/s (et du décalage de la longueur d’onde de celle-ci : le Redshift). Mais si la vitesse de la lumière n’était pas constante, augmentée avec le temps T² ?

L’explication – un peu compliquée, quoique – serait que la vision du passé par un observateur présent est déformée (c semble diminuée dans le passé).

Bref, l’histoire de l’univers serait basée sur une illusion d’optique !

RENE JUSVEL

ASTROPHYSICS - The Big Bang is an optical illusion
Recent observations from the James Webb Space Telescope provide us with new information that seems to call into question certain ideas commonly accepted until now.
This is particularly the case with the Big Bang. This “beginning” of the universe, 13.7 billion years ago, would not be! Because, if this were the case, the most distant galaxies, which should be the “oldest”, the closest to the creation of the universe, could not be at a stage of development similar to galaxies like ours. , who lived… However, JW revealed the opposite!? The universe, then, should be much older...
A hypothesis – which remains to be confirmed – would be that the universe would have always existed!? And the illustrative comparison would be that the situation is similar to a vanishing point, much like the parallel railway tracks which appear to come together in the distance. We had already discussed this vision previously. To understand the phenomenon a little better, you need to know that the observation depends on the light reaching us, at 300,000km/s (and the shift in its wavelength: the Redshift). But what if the speed of light was not constant, increased with time T²?
The explanation – a little complicated, although – would be that the vision of the past by a present observer is distorted (it seems diminished in the past).
In short, the history of the universe is based on an optical illusion!

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28 octobre 2023 6 28 /10 /octobre /2023 08:14

Vous avez sûrement entendu parler que notre univers était en expansion accélérée : il grandit de plus en plus vite. Et, avec lui, la vitesse de la lumière (nous en avions déjà parlé) qui passerait de 0, lors du Big-Bang, le début de l’univers, à c (300.000km/s) aujourd’hui. Et ce, en un temps correspondant à l’âge de l’univers (1/H, constante de Hubble). Alors, l’accélération, si on la suppose constante, serait de cH/2π, soit, environ, 1,12*10^-10 m/s².

Donc, en tout point de l’univers, il y aurait cette accélération qui éloignerait les astres les uns des autres.

Chaque astre de l’univers exerce une force d’attraction gravitationnelle sur les autres, la fameuse Loi de Newton : F=GMM’/D² soit une accélération locale de α=GM/D². Et lorsque cette accélération attractive, loin de son astre, équivaut à l’accélération répulsive de l’expansion de l’univers ? Alors elles s’annulent, tout simplement !

C’est à partir de cette constatation que le Laboratoire de Physique de l’École Normale Supérieure propose de remplacer la notion de sphère de Hill (ou de Roche), actuelle limite d’influence gravitationnelle (à peu près), par ce nouveau rayon Rg. On a alors α=GM/D²=cH/2π donc D²=GM/(cH/2π). Bref, Rg 

Et cette formule s’appliquerait aussi bien au niveau des galaxies que de notre système planétaire ! Et permettrait de définir H précisément ?

RENE JUSVEL

ASTROPHYSICS - To what extent do the stars act?
You have surely heard that our universe is expanding at an accelerated rate: it is growing faster and faster. And, with it, the speed of light (we had already talked about it) which would go from 0, during the Big Bang, the beginning of the universe, to c (300,000km/s) today. And this, in a time corresponding to the age of the universe (1/H, Hubble constant). Then, the acceleration, if we assume it to be constant, would be cH/2π, or approximately 1.12*10^-10 m/s².
So, at every point in the universe, there would be this acceleration which would move the stars away from each other.
Each star in the universe exerts a gravitational force of attraction on the others, the famous Newton's Law: F=GMM'/D², i.e. a local acceleration of α=GM/D². And when this attractive acceleration, far from its star, is equivalent to the repulsive acceleration of the expansion of the universe? So they simply cancel each other out!
It is from this observation that the Physics Laboratory of the École Normale Supérieure proposes to replace the notion of Hill's (or Roche's) sphere, the current limit of gravitational influence (roughly), by this new radius Rg. We then have α=GM/D²=cH/2π therefore D²=GM/(cH/2π). In short, Rg=
 

 And this formula would apply both to galaxies and to our planetary system! And would it be possible to define H precisely?

 

 

 

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