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D’habitude, on associe la mécanique relativiste (Einstein) aux grandes échelles de l’Univers, et la mécanique quantique à l’infiniment petit. Et d’ailleurs, concilier les deux théories pose souvent problème.
Pourtant, une porte de sortie de cette opposition semble apparaître.
En effet, d’après les derniers travaux au Centre de Physique Théorique, le macroscopique se comporterait comme le microscopique. Non pas à l’intérieur des trous noirs avec une « gravitation quantique » (vous connaissez ? Moi non plus) mais par plusieurs phénomènes observés faisant apparaître des fonctions sinusoïdales, ondulatoires.
Même masse et lumière seraient reliés, quant à leurs vitesses, par une relation trigonométrique ((V/c0)²+(c/c0)²=1 comme cos²+sin²=1 comme les ondes, nous en avions parlé ici. Ce qui avait permis de définir l’équation d’un trou noir. Et d’ailleurs cela rejoint les transformations de Lorentz chères à Einstein. Certes, un peu compliqué, j’admets.
Mais pas que ça. La répartition planétaire (l’éloignement des planètes au soleil), les « points de Lagrange » (endroits de stabilité orbitale), limite de Roche (là où un satellite finit pas se disloquer), seraient, d’après ces travaux, que des cas particuliers d’interférences d’ondes... gravitationnelles stables.
Pour résumer grossièrement, ondes et particules au niveau des atomes, gravitation ondulatoire et objets célestes au niveau de l’espace.
RENE JUSVEL
PHYSICS - Large-scale quantum mechanics?
Usually, we associate relativistic mechanics (Einstein) with the large scales of the Universe, and quantum mechanics with the infinitely small. And besides, reconciling the two theories often poses a problem.
However, a way out of this opposition seems to appear.
Indeed, according to the latest work at the Center for Theoretical Physics, the macroscopic would behave like the microscopic. Not inside black holes with “quantum gravity” (you know? Me neither) but by several observed phenomena showing sinusoidal, wave-like functions.
Same mass and light would be linked, as to their speeds, by a trigonometric relation ((V/c0)²+(c/c0)²=1 like cos²+sin²=1 like waves, we talked about it here. had made it possible to define the equation of a black hole. And besides, this joins the Lorentz transformations dear to Einstein. Admittedly, a little complicated, I admit.
But not only that. The planetary distribution (the distance of the planets from the sun), the "Lagrange points" (places of orbital stability), the Roche limit (where a satellite ends up breaking up), would be, according to this work, only special cases of stable gravitational wave interference.
To sum up roughly, waves and particles at the level of atoms, wave gravitation and celestial objects at the level of space.