
On pensait qu’un trou noir engendrait une accélération gravitationnelle attirant tout de plus en plus vite, jusqu’à atteindre la vitesse de la lumière.
Mais la Relativité stipule que le temps se déforme à l’approche d’un trou noir.
Ainsi, de fait, la vitesse de la lumière y diminue… jusqu’à devenir quasi nulle.
De plus, l’énergie y devient de plus en plus grande.
On sait maintenant, grâce aux observations de la mission IXPE de la NASA, que ce double état de fait entraîne que l’onde lumineuse, à l’approche de ce qu’on appelle l’horizon d’un trou noir (sa « surface » en quelque sorte, à partir duquel rien ne peut plus échapper), se transforme en particules et antiparticules et que les antiparticules sont « absorbées » par le trou noir alors que les particules sont, elles, éjectées.
Cela explique enfin pourquoi il y a beaucoup plus de matière que d’antimatière dans l’univers, ce qu’on avait du mal à comprendre jusqu’alors.
Cela donne matière à réflexion…
RENE JUSVEL
ASTROPHYSICS - When the light stops ...
It was thought that a black hole caused a gravitational acceleration attracting more and more quickly, until the speed of light.
But Relativity states that time is deformed when approaching a black hole.
Thus, in fact, the speed of light decreases ... until it becomes almost zero.
Moreover, the energy becomes bigger and bigger.
We now know, thanks to the observations of NASA's mission IXPE, that this double state of affairs causes the light wave to approach the so-called horizon of a black hole (its "surface" In a way, from which nothing can escape), is transformed into particles and antiparticles and antiparticles are "absorbed" by the black hole while the particles are ejected.
This finally explains why there is much more matter than antimatter in the universe, which was difficult to understand until then.
This gives food for thought ...